La poésie a besoin d’un laboratoire 15.08.18 23:36:23 to 23:39:26

écume-moi jusqu’à ce qu’alourdit
un fil noyé devient une ville occupée
nous attendons la foudre
 
il se sentait complètement peu déçu
le chat gris
et que nous répandons la peste
 
laissez-nous soigner
dédouble à l’infini le serre-tête